Hmmm, comment dire, je commence cet article sur la pointe des doigts (pourquoi pas ?), et pourtant il est SUPER important pour moi, pour ma quête, et pour le futur de la sensibilisAction pédagoGeek au burn-out !
(oui, rien que ça)
Sauf que j’ai deux énormes craintes dans ma vie :
(bon trois si tu comptes les araignées, et pour faire une trilogie)
DEMANDER et DÉRANGER.
Deux bonne grosses croyances…
Mais j’y travaille.
Notamment parce que ça aurait pu m’éviter de me cramer 3 vies.
Si j’avais demandé de l’aide, si j’avais alerté plutôt qu’avoir peur de déranger…
Mais ce n’est pas le sujet du jour.
J’en reparlerai sûrement, mais j’ai encore du chemin à faire…
Aujourd’hui, on va parler argent.
Financement de la sensibilisAction.
Et système bancaire aussi.
(j’aurais pu ajouter le bitcoin pour être à la mode, mais c’est l’expertise de mon chéri plus que la mienne !)
Le fait est que le week-end dernier, en même temps que je surveillant mon opérAction Hallo Wins (qui entre nous relève du gros fail, et m’a poussée à m’interroger sur les rôles à jouer dans le financement dans la sensibilisAction, mais j’y reviendrai), je préparais un énième décompte pour mon avocate, dans un procès ubuesque qui m’a déjà coûté beaucoup d’argent et 2 burn-out.
D’un côté l’argent qui ne rentre pas, de l’autre la banque qui bloque et vide mes comptes.
Et au-dessus de ça une mission, la sensibilisAction au burn-out, et cette question : comment aider les collaborActeurs à temps ? Et qui doit payer ?
Résultat : j’ai réuni toutes les voix de dans ma tête et on a fait une semaine de brainstorming !
Conclusion (spoiler / option « économie de lecture ») : j’ai ouvert un compte participActif sur Tipeee !
Mais pas que…
Parce que j’ai des questions à toutes mes réponses !
Financer la sensiblisAction : collaborActeurs VS entreprise
LA question fondamentale dans ma démarche, et j’adorerai avoir ton avis sur ce point, c’est celle du financement de la sensibilisAction des Risques Psycho Sociaux.
On parle beaucoup de la reconnaissance du burn-out en tant que pathologie du travail, pour les victimes bien sûr, mais au fond LA question épineuse c’est « qui doit payer ? » (c’est souvent le nerf de la guerre…)
La société avec la sécurité sociale, ou l’entreprise, qu’une reconnaissance du burn-out rendrait financièrement responsable ?
Société VS entreprise
Société VS sociétés
Mais aussi, et surtout : individus VS société(s)
Parce qu’une vraie récupérAction après un burn-out passe par un travail sur soi, sur ce qui a amené le burn-out, avec des thérapeutes, des coachs, des psychologues du travail, des praticiens énergéticiens, selon les affinités, mais aussi par des massages, des soins, de l’ostéopathie, la reconnexion au corps étant FON-DA-MEN-TA-LE dans la reconstruction, et la préservAction !
Que des trucs non remboursés, donc.
Des investissements qu’on est amenés à faire quand on est passé par la case burn-out, pour se reconstruire déjà, et parce que ça fait partie de la thérapie que d’apprendre à prendre soin de soi.
Oui, mais quid de la prévention ?!
Une question qui s’était posée lors d’un débat sur le burn-out en préparAction de la dernière campagne présidentielle, en pleine discussion sur la reconnaissance du burn-out (pour ne pas trop m’étendre sur la question je te mets ZE best-of avec ma sketchnote de la soirée) :
Burn-out, en parler pour s’en sortir,
table ronde organisée par la section Parti Socialiste de Boulogne Billancourt, avril 2017
Là encore de nombreuses questions…
Une question de fond, sur la définition d’une maladie professionnelle, et ses 25% d’incapacité, à revoir peut-être dans le cas des Risques Psycho-Sociaux ? Et si le burn-out était un accident de travail ? Un accident de parcours ? Un syndrome ? Un symptôme ? Celui d’une entreprise qui va mal peut-être ?
Une question de moyens, d’outils : de détection, de sensibilisAction, de préservAction… Il y en a de plus en plus, des fiches d’information, des conseils de prévention, et je travaille à les recenser sur ma page de ressources, mais QUI les infuse, et QUI les diffuse ?
Et enfin une question qui impacte directement tous les sensibilisActeurs : entre nous, QUI va payer pour s’éviter un burn-out ?
Surtout quand on sait que le propre d’un premier burn-out est de passer par la case déni…
Alors oui, des soins peut-être, un massage, et c’est très bien déjà, mais de la stress-défense, de la sensibilisAction, une quête de prévention ?
Bonne question…
On pourrait s’attendre à ce que l’entreprise entre en je(u) à ce stade.
Et pas QUE en payant des formation de gestion du temps ou de gestion du stress… (c’est du vécu… toi aussi ?)
De la vraie sensibilisAction : le burn-out c’est quoi, ça arrive comment, comment on le repère, comment on s’en préserve, bref comment on devient un vrai Stress Fighter !
Et les solutions existent !
(spoil : on gère plus les attentes VS les ressources que le temps, ou alors le temps comme ressource, parce que le temps il se gère très bien tout seul 🙂 Stop à la culpabilisAction systématique des collaborActeurs… je ferme la parenthèse)
Après tout entretenir l’épidémie de Working Dead se fait au détriment de la performance des entreprises.
Attention, voici… des CHIFFRES : un salarié heureux est deux fois plus créatif, 30% plus productif, deux fois moins malade et six fois moins absent. Et il réduit de moitié son risque de burn-out.
Donc oui, la sensibilisAction EST une nécessité.
Mais devoir en tant que salarié payer pour se former à travailler sans y laisser sa santé me semble une aberration.
Alors j’ai revu mon combat.
EfferveScience évolue et devient participActif !
En cette opération d’Hallo Wins (qui est un nom plutôt marrant, avec le recul, pour un échec une leçon), j’ai eu une grande phase de brainstorming interne.
Avec ce constat : les aspirants Maîtres du Je(u) qui rejoignent ma formAction sont déjà passés par la case burn-out, hélas. Et c’est super frustrant, parce que j’ai l’impression d’arriver trop tard.
Bien sûr cette quête est parfaite pour eux, essentielle même, et je suis super heureuse de pouvoir apporter cette solution que j’aurais aimé avoir quand je me suis moi-même cramée.
Mais ce n’est pas assez.
C’est trop tard.
Mon but c’est d’éradiquer le burn-out (oui je sais, rien que ça… #teambisounours), et même si vous accompagner sur le chemin de la reconstruction est passionnant et gratifiant, et plein de rencontres efferveScientes, ma vocAction c’est la sensibilisAction.
Gratuite.
Enfin juste pour toi, ne le répète pas 😉
Plus sérieusement : ce que j’aime le plus, ce qui me semble le plus proche de ma mission, c’est te fournir un maximum de ressources de sensibilisAction, de quoi te faire passer l’essentiel des infos pour éviter le burn-out, et/ou alerter tes proches, tes amis, tes collaborActeurs.
Faire des visuels, des infographies, des vidéos pédagogeek, des dessins même parce que j’adore ça, des revues de livres, des versions podcast de mes contenus pour que tu puisses les écouter déconnecté, et que tu puisses rattraper mes anciens articles, des ressources que tu peux télécharger sur le site, infuser & diffuser pour alerter et sauver les Working Dead du burn-out !
Et quand c’est créActif c’est encore mieux 🙂
Typiquement j’ai envie de faire encore plus de fiches et infographies explicActives, reprendre les intermèdes pédagoGeek, ces courtes vidéos pour expliquer les fondamentaux du stress et du burn-out mais aussi des outils pratiques, des ressources de stress-défense, et à chaque fois la possibilité de les diffuser pour que mon message puisse vraiment servir à la sensibilisAction, AVANT le burn-out !
Mais pour ça, j’ai besoin de toi !
Parce qu’on ne va pas attendre après l’Etat et une éventuelle reconnaissance du burn-out comme pathologie professionnelle pour que les entreprises se bougent et distribuent des kits de stress-défense comme on voit des défibrillateurs.
Parce que je veux continuer à décortiquer, sélectionner et analyser les derniers articles et t’en faire profiter, sur Facebook, LinkedIn et dans la team des Stress Fighters, pour alimenter tes partages.
Parce que je ne peux pas attendre que tu t’effondres d’épuisement pour te voir accéder à des infos qui aurait pu t’épargner !
Parce qu’ensemble on peut faire grandir l’armée des Stress Fighters informés, parés à se préserver aux moindres manifestActions d’épuisement caractérisé. Que le mouvement est en marche, à travers vos partages, vos messages, et les réutilisActions de mes contenus dans vos initiActives de sensibilisAction.
Parce que j’ai encore pleeeeein de projets que j’aimerais développer, qui demandent du temps sans être rémunérés.
Pour toutes ces raisons et bien plus encore, j’ai créé le Saint-Graal de la créActon de contenu collaborActive, qui soutient les plus grands vulgarisActeurs et inspirActeurs de YouTube, mais pas que : ma page Tipeee !
AlternActive : les donActions libres sur Paypal 😉
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que je me suis bien amusée dans les contreparties !
L’occasion d’accéder à mes ressources à télécharger, en avant-première, de participer à l’élaborAction et au choix des futurs contenus, de tester l’efferveScience collaborActive des séances de coaching neuroScientigeek avec moi, de profiter de promos sur mes formActions et ateliers, de sauver des chatons et des licornes aussi !
Bref, tu me connais, j’y ai mis tout un univert à découvrir et diffuser 😉
En pratique ?
C’est sans obligAction, chacun donne ce qu’il veut ou peut, s’il le veut, ponctuellement ou mensuellement, en échange de contreparties, la plus belle étant de faire progresser la sensibilisAction pédagoGeek efferveSciente !
Une démarche à laquelle je pensais depuis longtemps, dont l’idée revient régulièrement, et avec laquelle je suis beaucoup plus alignée que pour appliquer des formules d’urgence pour t’inciter à acheter mes formActions, leur donner des valeurs astronomiques pour te les vendre encore plus cher, avec un compteur pour bien ajouter au stress général…
Franchement, du marketing stress-O-gène en stress-défense, c’est une aberrAction !
Je pars du principe que mes formActions sont mon best-of, et elles sont toujours là si tu en ressens le besoin et que tu veux te lancer dans la quête des Maîtres du Je(u), le Je(u) dont tu es le héros !
(et le module 1 de ta quête, avec tous les messages de sensibilisAction reste open access pour 30 jours)
Mais j’aime autant te proposer encore plus de ressources si ça peut t’éviter d’arriver au stade où tu as désespérément besoin d’une formAction pour te reconstruire !
Et pour ça, le modèle de donAction libre me semble idéal 🙂
Je ne saurais l’expliquer aussi bien que mon amie Eva, qui te raconte des histoires et te raconte aussi pourquoi elle a choisi de rendre son livre « Revenir à soi » accessible en licence CreActive Commons (un livre qui envoie du self-love, rien que le titre est l’incarnAction de la stress-défense, je te le recommande+++).
Parce que je crois comme elle, et comme beaucoup de créActeurs de contenu qu’une autre économie est possible.
J’ai longtemps cru que c’était les bitcoins, avant que ça vire spéculatif…
Mais plein de belles initiActives ont montré qu’avec une approche collaborActive on n’a pas forcément besoin de l’Etat pour mettre en place le revenu minimum et permettre à de beaux projets de voir le jour !
(même si je valide complètement l’idée et que j’aimerais que les choses bougent plus vite)
Alors bien sûr je vais reprendre les coachings et formActions, on va pouvoir faire équipe pour avancer dans tes projets les plus efferveScients, et sur le chemin des Maîtres du Je(u) (peut-être en décembre, plus probablement en Janvier, je croise les doigts pour une place en crèche, Mini-Geek n’ayant pas encore vraiment de rythme, mais je te préviendrai).
Et j’espère accentuer la sensibilisAction en entreprise, parce que c’est là que je peux agir à temps, AVANT le burn-out. Et que j’observe avec grand plaisir, notamment à travers la lecture des « Nouveaux Sages » d’Arnaud Riou mais aussi dans les articles que je surveille attentivement et partage massivement que la sensibilisAction commence à investir le terrain des entreprises 🙂
Je vais aussi utiliser plus ma fibre créActive avec le sketchnoting et la conception de contenus pédagoGeek pour d’autres sensibilisActeurs, et parler de plus en plus de nos profils efferveScients, et de comment nous préserver du burn-out, mais je n’en dit pas plus ce serait du spoil…
Sache juste que le site est en phase de « refonte modérée », avec des ressources qui seront de plus en plus visibles et accessibles, des boutons de donAction libre qui vont venir les agrémenter, plus de place pour mes sketchnotes et mes projets de facilitAction graphique, et j’espère très vite le retour des intermèdes pédagoGeek en vidéo, sans parler d’autres projets et formats qui devraient arriver… 😉
De quoi alimenter encore longtemps la sensibilisAction !
De quoi j’espère aussi lui permettre de durer encore longtemps, avec l’économie collaborActive de Tipeee et la juste dose d’entreprise pour toucher les collaborActeurs à la source en me permettant de financer encore plus de ressources gratuites, tout en trouvant un bel équilibre pro/perso avec le Mini-Geek, du genre qui m’évitera de replonger…
De quoi aussi casser pleeeeeein de vieux schémas nocifs, ces costumes de Faux Super-Héros que sont SuperFection, SuperCosto et SuperNoël qui me faisait croire qu’être utile et avoir une mission, une vocAction d’aide devait relever du pur altruisme… sauf que mon banquier ne vivant pas dans mon pays des bisounours, ça ne marchait pas 🙂 !
Et ce n’est pas pour rien que j’ai choisi CE jour pour me forcer à lancer ce projet… mais là on va plonger dans le côté au-moins-aussi-obscur-que-le-burnout du système bancaire, et de mes galères personnelles, autant dire qu’après autant de lecture tu peux t’arrêter ici, et aller t’émerveiller dans l’univers merveilleux et licornesque de ma page Tipeee 🙂
Le monde d’une banque qui ne change pas…
Tu es encore là ?
Bienvenue du côté obscur…
Rassure-toi, on ne va pas y rester longtemps, cet article est déjà bieeeeeeen trop long !
Comme je te le disais en intro, en même temps que je m’interrogeais sur l’orientAction d’EfferveScience, sa viabilité, et comment continuer à faire de la sensibilisAction avec le futur arrêt de mes allocActions et un Mini-Geek à élever (oui je me pose de grandes questions existentielles en mangeant des bonbons halloweenesques), je faisais un énième décompte pour ZE combat qui me pollue les neurones depuis maintenant 7 ans, et autant de surendettement :
Sandra VS le Monde
(non pardon, ça c’est Scott Pilgrim !)
Une histoire en trois actes, que je te résume en 3 puces, parce que c’est ça aussi la vulgarisAction :
- J’ai acheté un appart en construction en 2010, construction mal prise en compte par ma banque qui m’a fait rembourser très tôt avant l’aménagement : début du surendettement, ou « comment apprendre à vivre quand il te reste 2 € par jour pour manger ». Pendant 1 an.
- J’ai finalement aménagé, mais les charges trop mal estimées et trop élevées, et un montage bancal et illégal pour survivre à cette première année sans revoir le prêt m’ont laissé en surendettement. 2 ans.
- Et j’ai mis 2 ans à vendre, et à payer loyer + prêt (un classique, en soi). 2 ans, donc.
Tu vas me dire : ça ne fait « que » 5 ans.
Bien vu !
Parce que c’est là que ça devient drôle !
Comme je désespérais de vendre l’appart et que je n’arrivais plus à boucler mes mois entre le loyer et le prêt j’ai déposé un dossier de surendettement (parce que oui j’ai tellement de mal à demander qu’il m’a fallu 5 ans pour enclencher une démarche que j’aurais du faire dès 2010, histoire de recadrer la banque…). Dossier bien évidemment accepté vu ma situation.
Et là GAG : ma banque étant inquiète/énervée/vexée de la menace potentielle sur mes remboursements (qui sont au mieux suspendus, voire lissés, jamais supprimés, mais bon…) m’a fait la joie de désactiver ma carte bleue et de me couper l’accès à mes comptes. Tous mes comptes. Et même mon conseiller n’avais plus accès.
Comment n’avoir plus accès à ses ressources, plus de moyens de paiement hors le liquide que j’avais sur moi ce jour-là, et l’interdiction d’ouvrir des comptes d’épargne ailleurs que chez eux… où je n’y ai pas accès. Ils ont de l’humour…
Bon j’ai fini par avoir une carte bleue avec contrôle du solde, et finalement par vendre mon appart, YOUHOUUUUUH !!!
Il y a deux ans.
Depuis, à cause de cette coupure de compte intempestive et illégale et du non-respect de la procédure de surendettement, je n’ai pas réussi à faire clôturer mon prêt et à récupérer l’accès à mes comptes…
Je suis donc en procès depuis 2 ans « pour que ma banque me permette de clôturer mon prêt, et mes comptes. »
Ubuesque.
Bilan : 2 burn-out
Sur les 7 ans, et pas QUE liés à ces problèmes bancaires bien sûr, mais voilà le genre de situActions ubuesques qui poussent à l’épuisement.
Ou au suicide.
Ou au procès pour forcer une banque à appliquer la loi, alors que j’avais déjà toute la liste des textes enfreints grâce au conseil juridique gratuit, mais qui suis-je face à une banque ?
Alors heureusement une banque a bien voulu m’accueillir malgré ça, parce qu’il fallait bien que je domicilie mon salaire quelque part… mais aucun droit à une compte d’épargne (c’est UN livret A et UN LDD par habitant), ni à un nouveau prêt, et avec un taux d’endettement qui continue à crever le plafond.
Puisque bien sûr, mon ancienne banque continue à se servir en capital, intérêts, assurances et frais bancaires tous les mois depuis ma demande de remboursement anticipé…
Très pratique quand on doit déménager.
Et donc AUJOURD’HUI c’est la première audience en Tribunal de Grande Instance, la banque ayant joué la montre pour passer de l’instance à la grande instance (bah oui les compteurs de ce qu’ils me doivent tournent…).
Avec une décision attendue d’ici 1 ou 2 mois, en espérant ne pas avoir besoin d’appel.
Mais combien de temps pour une applicAction de la décision et un nouvel accès à des comptes d’épargne et à un taux d’endettement viable ? Probablement trop pour espérer pouvoir chercher un nouveau lieu de vie avec une chambre pour notre Mini-Geek (on l’a « stocké » dans le dressing, c’est quand même moins pire qu’Harry Potter, puis l’appart est grand rassure-toi), en tout cas pas en ayant encore des allocations à porter au dossier, et/ou une visibilité financière encourageante pour EfferveScience…
Je sais que ça arrivera, mais tu comprendras mieux je pense le pourquoi de ce brainstorming stratégique.
Enfin bref, je te raconte ma vie mais c’est AUSSI l’une des raisons qui m’a décidée à lancer cette page Tipeee, parce que ce genre de situations me fait douter du système financier actuel, et que les stratégies marketing qu’on voit trop souvent passer ne m’en semblent pas si éloignées.
Mais que je veux croire qu’une économie collaborActive et alternActive est possible.
Un monde où on n’aurait pas besoin de 2 ans de procès pour faire appliquer la loi…
Où je n’aurais pas à t’écrire un énormissime pavé tellement je suis mal à l’aise de demander, mais profondément convaincue du potentiel de cette démarche tipesque, pour les créActeurs au sens large, et pour la sensibilisAction qui cherche encore ses financeurs aussi.
Et surtout un monde où les Stress Fighters éradiquent le burn-out 🙂
Merci à toi si tu m’as lue jusque là, loin de moi l’idée de faire la mendicité, j’ai tenu 7 ans je sais que je vais y arriver, surtout que je vois la fin du tunnel je crois, donc ne donne que pour soutenir le projet, vraiment.
Mais j’avais besoin de cette transparence pour expliquer jusqu’au bout ma démarche, et parce que cette question des 3 burn-out revient (très) souvent, et j’avais à cœur de faire la lumière sur ma situAction financière, avec ce message : que la situation soit perso ou pro, n’attends pas pour alerter quand les attentes sont trop élevées, et pour demander de l’aide.
Parce que se dire qu’on va tenir, et tenter de le faire, c’est aussi ça le stress chronique qui mène au burn-out…
Et dans ces cas de litiges bancaires, ou de consommation, ou d’épuisement maternel, QUI doit financer la sensibilisAction ?
Et quelles sont les solutions de stress-défense ?
Quand je te disais que la sensibilisAction soulevait beaucoup de questions… 😉
Soutenir la sensibilisAction pédagoGeek
Pour les passionnés du bitcoin : si j’avais investi dans le bitcoin l’argent qui croupit sur mon compte
en attendant que ma banque daigne « le récupérer » et clôturer mon prêt,
j’aurais fait 3,5 MILLIONS D’EUROS de bénéfice…