Entreprendre c’est bien : créer son terrain de je(u), trouver son rythme, choisir son activité et… y laisser sa santé ?

Ou pas.

Et si on (re)parlait du burn-out entrepreneurial ?

Mieux : si on parlait du bien-être entrepreneurial ?

Mais pas seule : Alexandre Dana brise le tabou sur le sujet dans son prochain livre qui is coming : « Entreprendre et (surtout) être heureux«  🖖

J’ai eu l’occasion et le plaisir d’en discuter avec lui, le temps d’une interview efferveSciente : 

Burn-out entrepreneurial : le grand oublié ?

Alors oui on parle encore trop peu de burn-out et de santé mentale, encore plus dans l’entrepreneuriat, mais il existe des ressources sur le sujet, comme l’Observatoire Amarok, et j’y travaille activement depuis 6 ans avec EfferveScience, sans vraiment me spécialiser sur le cas du burn-out entrepreneurial… et c’est peut-être dommage, car on n’imagine pas forcément le quotidien de l’entrepreneur sans avoir vécu l’aventure (comme le burn-out en fait) 🧟‍♂️

L’ignorer c’est aussi oublier que l’entrepreneuriat peut être un projet post burn-out, et là l’écologie énergétique est un vrai travail d’équilibriste !

Une trilogie de ressources efferveScientes  sur le sujet, avant d’aborder l’approche originale d’Alex Dana sur le sujet du bien-être entrepreneurial :

D’ailleurs si mon livre ne s’adresse pas spécifiquement aux entrepreneurs il leur correspond complètement, et permet de mieux comprendre le burn-out pour l’éviter, et de jouer avec son énergie pour créer son entreprise et (surtout) être heureux (et il semble qu’on partage la même passion pour la quête du héros de Campbell comme cheminement de dev perso avec Alex, qu’on retrouve aussi dans le plan de ma « quête de je(u) »)

Pour pré-commander le prochain livre d’Alexandre
Son premierle mien

A nous de jouer, ami.e.s entrepreneur.e.s : objectif je(u), objectif bien-être, objectif bien (re)naître 🖖 

Et pour ça Alex Dana a bien décortiqué le sujet, en lançant sa propre enquête pour l’aborder sous un nouvel angle très pertinent : les 6 blessures de l’entrepreneurs qui peuvent le conduire au burn-out…

 

Les 6 blessures de l’entrepreneur : une approche inédite

Alex Dana parti d’une conviction simple : si le burnout menace les entrepreneurs, il est possible de l’éviter en identifiant en amont, et en guérissant, les blessures les plus classiques, les plus fréquentes, de la quête entrepreneuriale.

Pour ça il a recueilli plus de 10 000 témoignages d’entrepreneur.e.s qui ont fait ressortir 6 challenges les plus fréquents pour le cas particulier de la menace du burn-out entrepreneurial (et là je reprends le texte de sa page de campagne de pré-commandes – d’ailleurs si tu n’as pas déjà réservé ton exemplaire c’est l’occasion) :

  • La peur de l’échec qui nous paralyse au point de nous empêcher de découvrir quels produits ou services nos clients désirent vraiment, ou d’oser nous vendre.
  • Le syndrome de l’imposteur, ce doute maladif qui conduit à un investissement d’une trop grande énergie et d’un temps de travail trop important par rapport au défi devant nous.
  • La comparaison excessive avec d’autres entrepreneurs, qui affecte négativement notre confiance et génère une charge mentale si lourde…
  • L’anxiété récurrente, souvent à cause de nos finances, qui affecte à la fois l’esprit et le corps.
  • L’obsession du détail qui nous fait vouloir tout contrôler dans notre entreprise, au péril de notre santé.
  • Le traumatisme de l’échec qui nous hante après avoir déposé le bilan d’une aventure entrepreneuriale.

6 blessures qui précisent et complètent la trilogie généralement utilisé par les autorités de santé que sont :

La trilogie compte maintenant triple entre l’originelle qu’on voit ici et les 6 signes qui are coming dans le prochain ouvrage à paraître de sieur Alex

Il est d’ailleurs possible, et on en parlait dans l’interview, que chaque blessure soit en fait l’expression d’une des parts que tu as en toi (voir mon interview d’Art-Mella sur le sujet)… 

 
En savoir plus sur les parts et l’Internal Familly System avec Art-Mella

Une seule est sûre, et c’est un avis que nous partageons tous les deux (et même tous les 3, avec Art-Mella) : l’entrepreneuriat ne devrait pas être une fuite en avant…

L’entrepreneuriat au temps long : mission préservAction

Alexandre Dana a témoigné dans La communauté des entrepreneurs LiveMentor de ses deux burn-out, et comment ce nouveau livre répondait au fait d’avoir frôlé le 3ème : oui, le burn-out entrepreneurial EST une réalité, et bien souvent un problème de temporalité… 

Un concept qu’Alex développe dans son premier ouvrage et que j’aime beaucoup, d’ailleurs nous en reparlons dans l’interview : l’importance du temps long.

Ou dit en version Théorie PolyVagale et stress-défense  : « Slow must go on »

Si en France on a la chance d’avoir pendant 2 ans les aides de l’état, à travers Pôle Emploi, pour monter son projet entrepreneurial, ça reste une durée relativement courte pour monter un projet ET le rendre financièrement viable… encore plus quand on monte ce projet après un burn-out (ET qu’on y inclut un baby break comme votre serviteure 😅)

Comme Alex le soulignait l’entrepreneuriat est d’abord une quête de je(u), avant de définir son terrain entrepreneurial : ton fil vert, c’est toi. 

Dans sa quête du héros entrepreneuriale qu’est son premier ouvrage « La méthode LiveMentor, 12 étapes pour libérer l’entrepreneur qui est en vous » on commence par… soi-même.

Mission libérAction !

Et ça fait d’autant plus sens quand on sait combien le burn-out est le fruit de conditionnements éducatifs et sociétaux…


Pour en savoir plus sur la « Génération Stormtrooper » 🤖

C’est pour ça que nos ouvrages respectifs commencent par déconditionner pour mieux jouer avec son énergie et créer un terrain de je(u) à son image, qu’il soit entrepreneurial ou pas.

Alors si tu veux entreprendre, ou pas, mais SURTOUT être heureux dans ton futur projet pro je ne peux que te recommander « Entreprendre et (surtout) être heureux«  🖖, mais aussi mon livre et le premier livre d’Alex si comme nous tu aimes bien les trilogies !

Le plus important reste de mettre du je(u) dans son projet pour avoir le POWER d’avancer sur la durée, alors à toi de jouer… à ton rythme et sans forcer 🖖 !

Pour encore plus de good vibes entrepreneuriales tu peux enchaîner avec
mon interview de Yannick Alain et « Les gentils aussi méritent de réussir »